Après le globish, voici le blogish, ou le nouvel art de palabrer dans un étalage indécent et incongru de mots, de morceaux d’intimité et rêves de célébrité. Mais ne méprisons pas trop vite puisqu’on y est, fashion victimes de ce marché aux puces sans limites mais où les bonnes affaires semblent aussi rares que dans la vraie vie. Mais assez de philosophie, laissons la société évoluer paisiblement vers son destin impitoyable et déstructuré.
Félicitations ! L.
longue vie au blogish, nouvel antre des palabres bureautiques!