Le cinéma asiatique (sud-coréen dans ce cas là) ne ressemble à aucun autre, y compris pour les films d’horreur qui gardent une vision intéressante sur la société : entre deux apparitions du calamar géant qui va terroriser Séoul, on retrouve le syndrome de panique du SRAS, la vision sud-coréenne du soldat américain qui se comporte comme s’il était chez lui, etc. Mais ce n’est sûrement pas le film d’horreur qui fera référence. (note : 5/10)