La Russie est décidément à l’honneur en ce moment : après le dernier Cronenberg (cf. Eastern Promises) et, un moins caricatural, l’emprisonnement de Kasparov et les élections législatives à la régularité douteuse, la mafia russe new-yorkaise est à l’honneur dans le dernier James Gray. Dans une ambiance années 80, le sujet bien qu’habituel est traité avec une telle perfection qu’on ne peut que se laisser entrainer par le rythme de ce policier bien ficelé. (note : 3/5)