Le nom (Lolita) et le thème (nymphette juvénile et séductrice) sont probablement usés et il en est de même de l’adaptation éponyme par Stanley Kubrick du roman de Vladimir Nabokov. Sans avoir lu le livre pour en apprécier la profondeur (psychologique, sensuelle, dramatique, ou autre), la comparaison avec le film est difficile. Toujours est-il que ce dernier manque de profondeur et on se retrouve embarqués dans une histoire « facile » avec des personnages sans épaisseur. Surement pas le meilleur Kubrick. (note : 2/5)