Dans How Nancy wished that everything was an april fool’s joke, Rabih Mroué raconte l’absurdité de la guerre libanaise par 4 personnages coincés dans un canapé pendant toute la pièce, sans doute à l’image de toutes ces communités libanaises coincées dans un même pays et dont la seule issue est de s’entendre. Toujours immobiles, les acteurs racontent l’histoires de protagonistes qui n’arrêtent pas de mourir et réscussiter après chaque mort pour poursuivre leur comportement absurde. Mise en scène intéressante mais un peu répétitif et « technique » pour des néophytes à la guerre civile libanaise entre 1975 et 1989. (note : 3/5)