Le duo Ivan Viripaev (russe, texte) et Galin Stoev (bulgare, mise en scène) revient au Théâtre de la Cité Universitaire à Paris après Oxygène en 2006 (cf. post du 03/12/2006). Le texte, basé sur une correspondance réelle entre Viripaev et Antonina Velikanova, une jeune femme schizophrène internée dans un hôpital psychiatrique de Moscou, aborde sous le ton de l’humour des questions fondamentales sur la société et Dieu. Avec les mêmes acteurs (toujours) survoltés et une excellente mise en scène, le leitmotiv « il y a quelque chose en plus » ne laisse pas indifférent. A voir. (note : 5/5)